C’est une histoire un peu folle qui m’est arrivée il y a 4 ans maintenant, lorsque j’ai décidé d’acheter ma première voiture “plaisir”, une magnifique Delorean importée des USA. Je suis un grand fan du monde automobile et des Etats-Unis de manière générale, c’est pour cette raison que j’ai toujours rêvé de posséder une Delorean, c’est la voiture emblématique de “Retour vers le futur” une trilogie formidable que j’ai vue et revue des dizaines de fois. C’est réellement un véhicule d’exception, tant dans son design que dans son histoire et j’étais tellement impatient de pouvoir m’en offrir une, que j’ai manqué de vigilance lorsque j’ai trouvé un vendeur.
Le vice caché
J’ai longtemps cherché sur internet la perle rare, une Delorean un peu moins chère que les autres, car je ne pouvais pas non plus mettre une somme astronomique dans un véhicule plaisir. Après plusieurs mois de recherche, j’ai fini par trouver un exemplaire à un prix très intéressant, donc j’ai sauté sur l’occasion pour contacter le vendeur et venir voir le véhicule. Si j’avais su comment les choses allaient se dérouler, j’aurais fait appel à un avocat spécialisé vice caché automobile niort pour m’accompagner à cette vente. Malheureusement pour moi, je suis tombé sur quelqu’un de malhonnête qui m’a mené en bateau et m’a arnaqué. Quand je suis arrivé auprès du vendeur, le véhicule était là, magnifique et conforme à la description. Nous sommes partis faire un tour pour que je puisse essayer la voiture, me projeter avec, etc.
Puis, quelques jours plus tard, j’ai décidé de sauter le pas et d’acheter l’auto. Cette fois-ci, nous nous sommes retrouvés à mi-chemin avec le vendeur et le véhicule, pour que je puisse repartir plus simplement, nous avons signé le contrat et tous les papiers, le vendeur est parti et quand j’ai essayé de démarrer, la voiture… rien ne se passa.
J’ai essayé plusieurs fois, puis j’ai décidé de brancher des câbles sur la batterie pour voir si le problème venait de là. Quelle ne fut pas ma stupéfaction en soulevant le capot de l’auto, le moteur n’était pas, ou plutôt il n’était plus, dans la voiture. Le vendeur avait stipulé dans le contrat que le véhicule était vendu sans motorisation, mais à aucun moment il ne m’en a parlé ou ne l’a indiqué dans l’annonce. Je me suis donc retrouvé au milieu de nulle part, avec un véhicule sans moteur, que j’ai dû faire remorquer jusque chez moi.
Par la suite, j’ai fait appel à un avocat spécialisé en vice caché automobile et ensemble, nous avons pu régler le problème. Le vendeur a été obligé de me rembourser les frais de remorquage, de faire poser le moteur et je n’ai pas eu à lui verser un seul centime de plus. La prochaine fois, il y réfléchira à deux fois avant d’arnaquer quelqu’un.